Catégories : Rencontres BDSM Bondage Shibari Kinbaku
il y a 5 ans
Une histoire érotique de jeu de bondage en couple
Notre jeu consistait généralement à laisser l’autre attaché quelques temps, puis ensuite de revenir et de jouer avec lui.
Ce matin là mon homme m’a laissée ligotée et est sorti faire des courses.
Je sais, on recommande toujours de ne pas laisser quelqu’un attaché sans surveillance.
Mais on avait une certaine expérience l’un avec l’autre et on savait ce qu’on pouvait faire ou ne pas faire.
Alors cette foi il était sorti et je savais qu’il allait me laisser ainsi environs une heure.
C’était plus ou moins notre standard à l’époque, mais je savais qu’il pouvait possiblement revenir avant pour me surveiller.
Alors si je devais tenter quelque chose je n’avais pas beaucoup de temps.
Je voulais vous dire comment je m’en suis sortie, et vous pouvez me croire, cela n’a pas été facile.
D’abord, lorsque je me suis retrouvée attachée, j’ai réalisé qu’il n’y avait pas de couteau qui avait été oublié.
J’étais rudement bien ficelée, entièrement nue, et l’appartement était assez froid ce matin là.
Le seul moyen de se défaire de tels liens, c’était effectivement d’avoir un couteau, et ce mec ne fait jamais la même erreur deux fois.
En plus je me retrouvais au salon, sur le plancher, alors que les seuls couteaux qui pouvaient me venir en aide étaient à la cuisine, au bout d’un corridor presque 8 mètres plus loin.
Pour ceux qui ont déjà essayé, tenter de se déplacer lorsqu’on est ligotée en hogtie est presque impossible.
Je dis presque parce qu’il nous reste juste quelques mouvements qu’on peut effectuer, mais rien de bien efficace pour se déplacer.
Je devais d’abord décider si j’allais tenter de me détacher, parce que s’il me prenait sur le fait cela allait certainement être ma fête par la suite.
Et puis il fallait savoir quoi tenter. Même si je me rendais jusqu’à la cuisine, ficelée comme j’étais je ne pourrais probablement pas atteindre les couteaux.
Mais à un moment donné j’ai eu une idée et j’ai pensé que cela pourrait être possible.
Peut-être aussi que ce matin là je crois que j’avais un peu plus de chien que d’habitude parce que je voulais lui montrer de quel bois je me chauffe, et ainsi j’ai décidé de tenter ma chance.
J’allais voir comment je pouvais progresser et évaluer la situation à mesure.
Alors je me suis mise en frais d’abord de me rendre à la cuisine.
Comme vous le savez, on a les mouvements très limités lorsqu’on est en hogtie, d’autant plus que cette fois, étant donné que je m’étais débattue passablement, on aurait dit qu’il avait mis les cordes plus serrées que d’habitude. Alors j’étais très limitée dans mes mouvements.
J’ai essayé de rouler, mais je n’avais pas beaucoup de contrôle, et de rouler sur mes orteils ne me faisait pas beaucoup de bien non plus. Même que parfois cela me donnait des crampes dans les mollets. Et puis il était vraiment difficile de rouler sur moi-même ligotée de la sorte.
À un moment donné, je me suis retrouvée sur le ventre et j’ai essayé de m’avancer comme un serpent. Évidemment avec les mains et les bras attachés dans le dos, on ne peut pas s’aider pour avancer. Mais j’ai remarqué que je pouvais en quelque sorte balancer mon corps et, avec mes hanches, m’appuyer et me traîner sur de toutes petites distances à la foi.
Vous essaierez, en vous tenant les chevilles par derrière le dos, si c’est si facile de se déplacer.
Mais c’était le mieux que je puisse faire et malgré toute ma volonté je ne progressais que très lentement.
Mais ces efforts n’étaient pas sans conséquence. D’abord le plancher était froid et à chaque centimètre que je gagnais le froid pénétrait mon ventre.
En plus mes seins frottaient sur le plancher et j’avais du mal à l’éviter.
Si je tirais plus fort sur la corde de mes poignets, comme pour me cambrer d’avantage, cela resserrait les cordes et ça me faisait mal.
J’essayais alors de saisir mes chevilles avec mes mains, c’était moins pire sur la tension des cordes mais c’était plus difficile pour le dos.
Alors je progressais centimètre par centimètre, me donnant que peu de répit, que de petites pauses pour reprendre mon souffle et relâcher un peu la tension dans mon dos.
Puis je me reprenais et continuais.
Au prix de vigoureux efforts, j’arrivai enfin en vue du comptoir de cuisine où se trouvaient les couteaux. Je n’étais pas au bout de mes peines et en continuant de progresser j’essayais déjà de penser de quelle manière j’allais faire pour atteindre ces foutus couteaux.
Je me suis donc rendue tout près du comptoir.
Il restait maintenant à atteindre le tiroir qui contenait les couteaux.
C’était le troisième en partant du sol, et même en me cambrant au maximum je n’arrivais pas à l’atteindre avec mes doigts. Il fallait donc penser à autre chose.
Je me suis alors mise sur le coté pour évaluer la situation.
Puis je me suis recroquevillée et j’ai manœuvré de manière à appuyer mon épaule contre le comptoir.
Maintenant je savais que, de la manière que j’étais attachée, il était possible de relever le haut de mon corps en l’appuyant contre le comptoir, tout en laissant mes jambes pliées sur elles-mêmes au sol.
J’étais gênée dans ma progression par les poignées des tiroirs et les aspérités du meuble.
À un moment donné je me suis faite un peu mal à l’épaule parce qu’elle a frotté contre le coin d’un tiroir, mais je me voyais près du but et j’ai tout fait pour continuer et continuer ma progression. C’est en m’aidant de ma tête, et au prix de très vaillants efforts, que j’ai réussie à gagner la hauteur que je voulais.
Ensuite il fallait ouvrir ce fameux tiroir. Mon nez touchait le coté, mais je n’arrivais pas
à pousser et faire en sorte qu’il s’ouvre.
J’ai eu beau essayer mais je n’arrivais pas à le faire bouger. Je me suis relevée sur les genoux pour me donner plus de hauteur, mais je n’avais pas plus d’angle d’attaque.
Pourtant j’étais si près du but, si près et si loin en même temps.
Puis soudain, alors que j’ai glissée un peu le long du comptoir, mon bâillon s’est retrouvé tout près de la poignée du tiroir.
J’étais sur le point de tomber, mais j’ai fait un effort surhumain pour me garder en place.
Ça me faisait mal aux genoux et ça tirait très fort sur mes poignets, mais j’y arrivais presque.
À ce moment j’ai remarqué que mon bâillon, un ballgag rouge, pouvait se glisser légèrement derrière la poignée du tiroir, et avec ma tête je pouvais au moins commencer à l’ouvrir.
Mais pour l’ouvrir complètement, c’était une toute autre histoire.
Je ne vous dis pas tous les efforts que j’ai fais à ce stade pour simplement me maintenir en place, mais aussi pour essayer d’ouvrir le tiroir.
C’était abominable. Mais je f o r ç a is et je me démenais comme si ma vie en dépendait, et je savais qu’il pouvait y avoir un moyen.
Je n’arrivais à ouvrir le tiroir que de quelques centimètres, et si la poignée glissait du bâillon le tiroir se refermait, puisque les glissières étaient montées de cette façon.
Il ne me manquait plus qu’un truc pour réussir à réussir à l’ouvrir d’avantage.
J’ai alors essayé autre chose. J’ai essayé de commencer à l’ouvrir en me servant du bâillon, puis de rapidement passer ma tête en dessous pour continuer à l’ouvrir.
Il m’a fallu bien des essais et tant de souffrances pour en arriver à des résultats peu convaincants. J’étais au bord du découragement, mais j’ai continué d’essayer.
En prenant mieux mon appui avec mes épaules, j’obtenais de meilleurs résultats.
Et puis soudain, j’ai pu faire un mouvement assez rapide entre le temps où je tirais la poignée avec le bâillon et le temps de mettre ma tête sous le tiroir pour le garder ouvert, juste assez pour que je puisse construire à partir de là.
Dès que ma tête fut sous le tiroir entre ouvert et que j’ai pu m’y appuyer, j’ai pu ensuite, avec des mouvements de tête, continuer à ouvrir ce foutu tiroir.
C’était laborieux, mais ça fonctionnait.
J’ai donc pu ouvrir le tiroir au maximum, jusqu’à ce qu’il soit bloqué au bout de la glissière.
Maintenant je devais faire sortir ce tiroir de sa glissière, et cela impliquait que je devais le soulever et pousser en même temps.
Là encore ce fut très laborieux et j’ai eu l’impression dix fois de me briser le cou. Je sentais que je pouvais le soulever, mais je n’arrivais pas à le faire sortir complètement.
Puis finalement j’ai senti que d’un coté, ça lâchait. Un autre petit effort et … « Badam!!! » Le tiroir est lourdement tombé sur le plancher, m’éraflant la cuisse au passage et répandant une partie de son contenu.
Ouf!!! Maintenant je voyais ce fameux couteau, un beau couteau assez long, et bien aiguisé.
Je le voyais au travers de la panoplie de tous les autres ustensiles, presque au centre du tiroir.
Il me fallait le saisir.
Je me suis donc laissée glisser lentement le long du comptoir, essayant tant bien que mal d’éviter les autres aspérités des tiroirs, et je me suis retrouvée sur le coté.
J’ai bien regardé où il était, puis j’ai commencé à m’en approcher.
Je me suis glissée le long du tiroir, un peu comme j’avais fait à partir du salon, poussant devant moi d’autres ustensiles qui jonchaient le sol.
Il y avait ce foutu ouvre-boîte qui était mal placé le long du tiroir et qui s’appuyait contre mon thorax. C’était pour le moins inconfortable.
Arrivé à bonne hauteur, je me suis laissée pencher sur le coté et j’ai essayé d’atteindre le couteau.
C’était difficile à cause des rebords du tiroir, et ce que j’arrivais à saisir ne ressemblait pas à un couteau.
Il a fallu que je refasse des essais et que je me repositionne parce que je n’arrivais pas à le trouver.
Mais cela faisait un bout de temps que j’étais ligotée et que je me débattais, et cela avait vigoureusement resserré les cordes de mes poignets.
Alors mes mains étaient devenues passablement engourdies et à cause de ça j’avais du mal à reconnaître le bon couteau.
À un moment donné je me suis littéralement retournée dans le tiroir et je fouillai avec mes doigts, jusqu’à ce qu’enfin je puisse mettre la main dessus, au risque de me couper ou de me blesser avec autre chose.
Mais finalement, en tâtant, j’ai fini par pouvoir saisir ce fameux couteau.
Je me suis donc enfin remise sur le ventre et j’ai commencé à couper mes liens.
Là encore mes mains engourdies n’arrivaient pas à mettre assez de pression pour que je sois efficace, et je risquais d’échapper le couteau à tout moment.
J’ai quand même fini par couper les cordes qui reliaient mes chevilles à mes poignets, et ce fut un immense soulagement de pouvoir enfin déplier mes jambes.
Déplier mes jambes m’a vraiment fait du bien, et du même coup cela me permettait une plus grande latitude de mouvement.
Après m’être reposée une ou deux minutes, je réalisai que le temps pressait et que je devais à tout prix finir de me détacher avant que mon amant ne revienne.
Je me suis alors mise à genoux, je me suis assise sur mes chevilles, puis j’ai délicatement placé la poignée du couteau entre mes deux pieds.
J’ai placé le revers de la lame contre mon dos, et ainsi le couteau était très bien maintenu et je pouvais couper la corde de mes poignets.
J’avais vu ce truc dans un film, et j’avais trouvé la fille assez ingénieuse.
Alors pourquoi ne pas en faire autant. J’ai pu couper les cordes de mes poignets relativement facilement, et là aussi ce fut un grand soulagement que de se sentir libérée.
Enfin pas complètement, mais ça allait plutôt bien.
Par la suite j’ai ressaisi le couteau avec une main, et j’ai pu glisser sa longue lame sous les cordes enroulées à mon thorax.
Là aussi je n’ai pas eu trop d’efforts à faire pour les couper. J’ai tout de même fini de couper ces cordes et me libérer les poignets.
Le reste, à nouveau, fut facile et vite fait. Je me suis déprise avec fébrilité, le plus vite possible, puisque mon amant pouvait revenir à tout moment.
Puis j’ai fait en sorte d’éliminer toute trace de mes actions.
J’ai ramassé tous les bouts de cordes, j’ai ramassé les ustensiles sur le sol, j’ai tout remis dans le tiroir sans les laver, puis je suis allée m’habiller et j’ai quitté l’appartement.
Je me disais qu’il allait avoir la surprise de sa vie en ne me retrouvant nulle part dans l’appartement.
Je suis allée faire un peu de shopping, traîner dans un café pour prendre une brioche et lire le journal, j’ai pris mon temps avant de retourner à l’appartement.
Inutile de vous dire qu’à mon arrivé j’ai eu droit à un barrage de question, auxquelles je me suis amusée à ne pas répondre.
Et inutile de dire aussi que les règles avaient changées, puisque j’avais réussi à me délivrer.
Là c’était à mon tour de lui imposer certaines …contraintes, et je ne l’ai certainement pas manqué.
Anna
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